Lorsque je déambule dans mes pensées . . .

Voici des petites pensées qui dansent parfois.... Elles sont toujours dans un élan de douceur, et de bienveillance
Peut-être, parfois, qu'elles s'écartent de la danse de la maïeusthésie, et même de la communication bienveillante.
Elles s'en vont allégrement vers des "pensées positives", des images, des allégories . . .
Elles sont "moi", je vous les partage comme des petits contes pour vous, des présents cadeaux . . .
"Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d’eux."

. . .René Char. . . .

Vous trouverez ici des audios en mp3 afin que chacun puisse avoir accès à ces quelques
mots, que cela soit dans la voiture, en balade, ou quand cela est bon pour vous.
Ces mp3, tout en humilité et sans prétention, sont aussi pour ceux qui n’aiment peut-être pas
lire, ou non pas accès à la lecture que cela soit par manque de temps, par manque de goût
pour la lecture, ou, aussi pour les personnes déficientes visuelles qui souhaitent écouter.
Avec chaleur du coeur,
je vous souhaite une douce ballade dans vos coeurs

Patricia Henrion



Recevoir de temps en temps, épisodiquement, des ballades contées....

Morcelé.e en mille morçeaux

Cela fait en soi,
comme lorsque l’on a accompli avec grâce, félicité, plaisir et aisance,
quelque chose de merveilleusement merveilleux.
Cela fait comme un retour en soi,
complet et en justesse,
une délicieuse rencontre avec soi-même.



Si ces mots rejoignent votre cœur, et que cela vous appelle,
nous pouvons nous retrouver, lorsque vous le souhaiterez, et réaliser ce voyage intérieur vers ce "vous-même", pour vous retrouver, vous accueillir, vous reconnaître.

Avec ma chaleur du cœur,

Patricia

Ne pas lui dire

Pour lui





Je ne sais pas,
peut-être peut-il attendre,
et peut-être est-ce mieux de ne pas lui dire combien tu admires ce qu' il a réussi,
et combien tu admires qu’il a réalisé tout seul,
et que personne,
personne peut mesurer combien cela n’a pas été facile ....

Pour elle :





Pourtant, je ne sais pas si tu sais,
comment celle que tu es,
peut, ne pas rejoindre dans son coeur,
celle que tu as été,
dans un autre lieu,
ne pas rejoindre dans son coeur,
celle que tu a été,
dans un autre temps,
dans un autre endroit...

Avec toute ma Chaleur du cœur…

Patricia

Lettre du corps

L'être du corps



Peut-être,
Peut-être,
peux-tu fermer doucement tes paupières,
pour profiter de ce moment de détente,
et peut-être,
peut-être,
peux-tu laisser tes yeux se détendre…Se détendre...Se détendre...
Et...
Et, je me demande si,
tu peux percevoir ta respiration,
ta respiration
comme une berceuse qui va,
qui vient,
qui va,
qui vient,
qui se balance doucement,
doucement, sur la balançoire de ton souffle
la balançoire de ta respiration . . .

Avec toute ma Chaleur du cœur…

Patricia

Et je m'interroge



Je me demande si toi aussi, dans la douceur de ton intime, dans ce roulement de la marche,
si tu réunis en toi, tous ceux et celles avec qui tu communiques,
intérieurement,
soit en pensée,
soit tout bas,
dans ton silence de toi, ton chahut de toi…
Les vois-tu ?

Avec toute ma Chaleur du cœur…

Patricia

Balada relajante meditativa
... Dulzura para ti

Ballade relaxante méditative
... Douceur pour ton toi-même


version française :
version espagnol :


... C’est avant tout,
un temps de bien-être pour toi-même,
et tout ce tout,
de toi-même,
compte complètement

Et, non pas du tout,
la façon dont tu es allongé.e,
la posture que tu prends…
Les vêtements que tu portes,
comment tu es coiffé.e aujourd’hui...
Ou, comment ta tête imagine qu’il faut être...
Cela importe peu...
C’est ton ressenti profond,
qui compte,
ta sensibilité qui est en prendre en compte,
et comment,
ta sensibilité peut recevoir,
en ce moment,
ce moment d’attention pour elle

Vois,
si tu vois,
combien ce moment peut être bon pour toi,
doux et nourrissant
Un moment d’attention à toi-même,
un moment rien que pour toi...

Un moment qui vient nourrir ton coeur à ton courage
Ta force à ton attention
Ta douceur à ton toi-même

Je t’invite à présent à laisser tes yeux se fermer doucement,
si pour toi, c’est confortable

Fermer ses yeux permet un voyage intérieur délicieux…

Patricia

... Es sobre todo un momento de bienestar para ti,
y todo lo de ti cuenta por completo,
y, en absoluto…

Y no,
y absolutamente no,
la forma de como te acuestas,
la postura que tomas ...
la ropa que usas,
o cómo estás vestido hoy ...
Y sobre todo no,
la manera que piensa tu cabeza,
que tienes que estar …
No importa ...
Son tus sentimientos los que importan
tu sensibilidad que hay que tener en cuenta,
y cómo,
tu sensibilidad puede recibir, en este momento,
este momento,
de atención para ella

Mira,
si ves,
lo bueno que puede ser,
para ti,
este momento, dulce y nutritivo,
un momento de atención a ti mismo,
un momento, solo para ti
Un momento que alimenta tu corazón a tu coraje
Tu fuerza a tu atención
Tu dulzura para ti-mismo

Te invito ahora
a que dejes que tus ojos se cierren lentamente
si para ti,
Es cómodo

Así...Muy bien, así es muy bien,

Cerrar los ojos permite un delicioso viaje interior...

Patricia

Je suis tisseuse

Je suis tisseuse.
Tisseuse de mots
De ces mots qui sont là en toi,
ou ces mots qui restent sédentaires,
chez toi.

avec chaleur et sensibilité

Patricia

Le corps

Ce corps…Ton corps...
Notre corps que l’on porte, qui nous porte, qui est là, qui est présent, qui nous suit, qui nous accompagne.

Avec reconnaissance, et chaleur du coeur

"Considération

Vient du latin « co » (cum-ensemble) « sideris » (étoiles en constellation).

Joli mot pour signifier que nous nous comportons ensemble comme des étoiles en constellation"

. . .Thierry Tournebise . . . .

Je suis née de cette boue

Je suis née de cette boue
de cette boue d'après la pluie
une pluie forte,
enragée,
qui saccage tout.
Je suis de cette boue sale,
dans laquelle on patauge,
on s’enfonce, on est sale
Je suis née de cette glaise,
de cette terre,
je suis elle
Je me sens alourdie d’elle,
exténuée d’elle,
elle me pèse, elle est lourde, elle me salit, elle m'écoeure,
Elle est partout,
elle se glisse partout,
elle devient le tout
Elle est devenue moi,
je suis devenue elle
elle et moi liées à tout jamais,
une offrande l’une pour l’autre
Ce cadeau déguisé,
que je ne vois pas,
que je ne comprends pas,
Ce cadeau qui m'épuise, me colère, me chagrine, m’emprisonne, me tue
Ce cadeau enveloppé de fatigue, de fureur, de larmes, de peurs, de non-sens
Cette enveloppe de boue, mon costume, mon masque, mon habit,
mon habit de boue,
qui s'écaille,
perd ses plumes,
se déshabille,
comme ces feuilles de l’arbre qui pleure à l’automne
Comme cet arbre qui pleure,
se dénude,
se démasque,
démuni,
pour renaître,
mon chagrin s’effeuille,
pleure,
nu ,démuni, sans arme,
devient lumière


Je suis née de cette boue,
je m’enracine,
je me déploie,
je mue, j’éclos,
je jaillis,
de cet humus,
de cette glaise,
de cette argile,
s’élève cette maison,
se fortifie le château,
se façonne la statue,
sublime l’oeuvre,
s’élève la montagne,
s’élance la plante et l’arbre,
grandit la vie,
sculpte mon âme,
sculpte l’amour,
grandit la joie,
devient lumière...

Avec ma chaleur du coeur,

Patricia

Bonsoir

Je te remercie tout d'abord bien chaleureusement pour ta lecture, pour tout ce que tu mets en œuvre pour "tout ce plus doux" en toi, pour ces échanges, pour ce temps que tu t'offres, et pour ta présence. Merci beaucoup

Toutefois, ce soir, je reste "pensive" et comme pas très à l'aise avec ce quelque chose,
que tu connais aussi peut-être , ce quelque chose qui est :
"il/elle m'a coupé la parole" porté sur l'autre comme une accusation,
que j'entends parfois comme une “vérité observation”…
J'aimerais beaucoup "me poser" un peu, pour une jolie pause (clin d'oeil) autour de ce/s :
-” il/elle m’a coupé la parole”
-” il/elle m'a interrompu”
- “je me suis interrompu”
- “lorsque je m'interromps”
- “il/elle parle trop”
- “il/elle prends toute la place”
- “je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout de ma phrase”
- “j'aurais eu l'élan d'aller jusqu'au bout de ce que je suis entrain de dire”
- “j'aurais eu l'élan d'aller jusqu'au bout de ce que je suis entrain d'exprimer”
Je garde, bien qu'il y ait ce "tu qui tue".... Celui qui suit pour "la vérité observation" :
-"Lorsque tu parles en même temps que moi",
ou encore mieux :
"Lorsque l'on parle en même temps" ,
avec ce "on" impersonnel qui fait bien les choses des fois.....


"Lorsque l'on parle en même temps" en observation, est pour moi, bien plus doux que tous les autres, mais toujours quand même je trouve, une pointe accusatrice, et non pas tout à fait , une observation .
Cela ressemble à une manière détournée de se dire “ensemble” comme “fautifs”, comme si là, la pilule passait beaucoup mieux….
Et, comme toutes les pilules mal avalées, elles laissent comme un goût amer dans la gorge, chacun de son côté a du mal à les faire passer...
Toutefois, oui, il y a quelque chose de difficile dans "toutes ces interruptions" qui sont pour moi non pas "une observation" mais comme un jugement accusateur ...
Celui qui interrompt peut bien sûr le faire à dessein , mais cela peut être aussi qu'il ne s'en rend pas compte, ou qu'il souhaite être en soutien, ou, qu’il a tellement et tellement des choses à dire, ou qu'il veut être avec toi ou tellement d 'autres choses encore ...
C'est pourquoi dire :
"tu m'as coupé la parole" en observation, est quelque chose de difficile à entendre pour celui qui le reçoit, et bien accusateur pour celui qui l'émet ....
C'est comme si on condamnait la personne, bien que cela soit (peut-être ?) un fait...
Le doute s'installe lorsque l'on pose sur la balance ces deux questions :
Est-ce un fait/observation (on ne peut pas le photographier) ?
Ou, est-ce un jugement/condamnation ?
Dans le cas où cela est une observation observable avec par exemple, un appareil photo, pouvons-nous faire le choix de dire :
"Lorsque l'on parle en même temps, et que je m'interromps......" ?
Qui est encore là, un tantinet réprobateur pour moi (je fais le choix de m’interrompre, je me "force" à m'interrompre)
ou beaucoup mieux :
-"Lorsque nous parlons en même temps et que j'interromps ce que je suis en train d'exprimer..."
-'Lorsque nous parlons en même temps et que j'interromps ce que je suis en train de dire..."
Ou même :
-'Lorsque nous parlons en même temps et que j'interromps ce que je suis en train de partager avec toi, je me sens sidéré.e, je suis stupéfait.e, en colère, et même triste… J’aime nos échanges en attention et écoute mutuelle, dans cette cordialité qui fait que chacun de nous se sent entendu.
Que dirais-tu d’établir entre nous un signe, un petit mot, une parole, afin de bien préciser à l’autre que nous avons terminé de parler ? Comment c’est pour toi ? Qu'en dis-tu ?”
Merci beaucoup pour ta lecture, pour tirer le fil de cet écheveau,
peut-être pourrons-nous partager un peu de nos lumières ?
Bien Chaleureusement, ce soir...

Hier, à l’orée d'un bois,

une abeille s'est perdue dans mes cheveux.
Elle a bourdonné, tendue, agacée, enragée, et a essayé de m'expliquer.
Énervée, elle a même crié, peut-être. . .
Peut-être même qu'elle avait peur, qu'elle s'est débattue, qu'elle avait mal ?
Un instant, dans les innombrables boucles de mes cheveux
Puis moi, j'ai mis ma main, j'ai secoué !
Va t’en, c'est toi qui a tort, va t’en, que fais-tu là ?!!
Peut-être que j’ y ai fait mal ??!
Si mal, si mal, si douloureusement mal, que lorsque épuisée, abattue de pleurs, de peurs, de cris, d'épuisement, elle est sortie de ma prison indélicate et, elle m'a piqué…...
C'est cela la douleur, la douleur immense, chez moi, comme chez cette petite abeille, chez toi, comme dans le plus minuscule petit animal…
Le premier impact est la douleur, la douleur dans le corps, le choc, l’indéfinissable, et pourtant tant là….
Puis, vient, le premier réflexe quand on a mal, c'est de crier, se débattre, crier, dire que c'est la faute de l'autre, se déchirer, se démener, pleurer même, puis piquer...
De façon acerbe... Jusqu'à s'en rendre malade, jusqu’à à avoir mal, souffrir, parfois s’éteindre , jusqu'à en mourir .....
En langage humain, peut-être, pouvons-nous comprendre que l’autre, cet autre qui crie, qui se débat, qui pleure, cet autre a mal ? Cet autre qui reproche, crie de douleur a mal, souffre ?
En langage humain, peut-être pouvons-nous, nous comprendre lorsque l’on a mal, accueillir notre douleur, nous dire à nous-même, pour pouvoir le dire à l’autre, peut-être pouvons-nous nous dire :
"Tu as mal, tu as tellement mal, tu es triste là....?"
Puis après, bien après avoir accueilli notre mal, notre douleur douloureuse …..
Peut-être pouvons-nous dire à l'autre :
“Lorsque tu fais ça, lorsqu'il se passe ca”
Je me sens…. J’ai cela en moi, je ressens cette peur, cette tristesse, cette colère, cette rage …….
J'ai besoin, c’est essentiel pour moi cette sécurité, cette tranquillité, ce …….
Comment c’est pour toi ?
Comment c’est en toi, que ressens-tu ? Peux-tu me dire ?
Peux-tu me dire avec tes mots, si c'est ok pour toi ?
Peux-tu me dire avec tes mots, comment tu vois cela ?...

Bonjour !

Aujourd’hui, choisis d'être attentionné.e,

Choisis de mettre de L'Amour inconditionnel aujourd'hui, pour tout, tout, tout, tout, ce que tu fais,
pour Toi, pour les autres
En te lavant, en descendant ou en montant un escalier, en parlant, en cuisinant, en souriant...
Contribue à un joli monde 🌎 🌍 🌏
L'amour, ce n'est pas conditionnel : "je t'aime si...", " Je m'aime si..." Non !
Choisis de mettre de l'amour dans chaque instant de toi, dans Tout…
Contribue pour ce joli monde 🌎 🌍 🌏
"Il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante."

. . .Friedrich Wilhelm Nietzsche. . . .

Ode à toi-même….

Ne donne jamais ton accord, ton pouvoir à l'autre...
Si tu dis : "il m'a dit.... Je suis... "
C'est comme si tu te dis à toi-même : "ok, je le prends, je suis d accord...."
C'est comme si tu te redisais, encore une fois, ce que l'autre te dit
Intérieurement…
Dis toi, plutôt : “Ce truc, ce n'est pas moi, ce n’est pas bon pour moi, je le rends.
Comme lorsque ton corps ingère un truc indigeste et le vomit, ton corps le rejette, le rend....
Aussi ne jamais, dire, du mal, car quand tu dis des mauvaises choses, c'est comme si du poison était à l'intérieur de toi, tu crois donc ce poison....
Tu en fais des mantras, des méditations, des récitations, que ton cerveau se répète, inlassablement, et donc,
ton cerveau croit, à ces choses qui font peur, ou à ces mauvais gens qui t'entourent. . .
Que cela soit "vrai" ou "pas", essaye, toujours de te voir humain.e avec tes travers, et tes bons côtés, et voir l'autre avec parfois aussi ses bons côtés, aussi ses travers, car humain.
Ne perds pas de temps,
prends soin de chaque instant, aime marcher, cuisiner, ou écrire, ou méditer, ou t'embrasser en te massant par exemple, ou t'étirer ou embrasser quelqu'un que tu aimes et qui t’est précieux.

Aussi... Te pardonner... Par le don, par le don d'écoute :

“Là, c'est difficile pour moi, là, j ai besoin de compagnie, d'échanges, de mouvements..... De silence… De calme...”
Pardonne-toi tes erreurs, tes échecs, par le "donner", donne-toi de la compassion, "em-parente" toi,
"en-tendresse" toi,
comme un parent merveilleux,
qui va vers son enfant, qui est tombé :
"-Tu as mal ?
-Ouiiii.
-Tu es tombé.e ?
-Ouiii.
-Tu as tellement raison, ça fait mal.
-Ouiiiii"
Et c'est reparti...
Ou…
“Tu as raté ton examen?
-hum-c'est vraiment douloureux?
-Ben oui j'ai beaucoup travaillé !!!
-D'accord, c’est très décevant et plus que douloureux pour toi...."

Être attentif, à ce que tu ingères, dans toi

Que ça soit des émotions, ou de la nourriture....
Ne te critique pas, ne te critique plus.... Ne te critique plus jamais....
Ne mets pas à l'intérieur de toi des mauvaises choses... Ne te dis pas laid, con, bête, idiot…
Ne te crois pas lorsque tu le fais.... Ne te critique pas...
Que ton intérieur soit comme un temple.... Qu’il soit précieux….
Que ce que tu rentres dans ton intérieur, soit un acte d'amour, et surtout beaucoup beaucoup de reconnaissance humaine,
d'accueil de tes travers, de tes fatigues, de tes trop….
Offre Toi de l'empathie, beaucoup de :
-D'accord, je me sens...
-D'accord, je ressens
-Oui, je me sens….
-Oui, je ressens...
...

Soit d'accord avec ton humanité,

et va vers de la douceur pour ces moments pas très chouettes
Sois aussi d'accord, avec tendresse pour tes moments de plaisir,
et remercie-toi, toujours, célèbre cela...
Le rayon de soleil, la musique, le goût, le rayon d un sourire, de marcher, de voir...

Aime-toi en Paix, en premier....

SI tu t'offres ce cadeau d'amour,
tu vas en avoir plein, si tu en as plein, en accueil, de tout de toi,
du moche comme du mieux,
de tes pas beaux, comme des merveilleux, si tu t'offres ces cadeaux inconditionnels
d'amour pour toi parfait
et imparfait,
tu vas comme un récipient qui déborde, déborder d'amour, de bien-être

La goutte qui déborde du vase, est aussi lorsque nous allons super bien

Lorsque nous sommes super bien, bien dans nos pompes, nous allons vers nous même,
ou vers les autres, en détente, en paix, en accord de soi,
en Géante Ouverture n'est-ce pas ?

Offre-toi de jolis dons,

d'amour à Toi d'abord,

tu en déborderas pour toi, et pour le monde
Prends soin de toi
Contribue pour le monde....

Parle le mieux possible positivement :

"~Problème-> situation
~Pas de souci->c’est ok, c'est bien pour moi
~De rien->avec plaisir, avec joie
~Mais->pour autant, en même temps
~Pas de problème->D’accord ! Avec joie !
Etc. . ."

Fais des choses que tu aimes.
Dis, aux gens si tu les aimes,

dis-toi à toi, si tu as aimé ce que tu as fait.
Offre-toi ce joli cahier de gratitudes.
Fais de la musique, si tu aimes la musique, du tricot, si tu veux tricoter, des marches, du yoga, écrire, des méditations, des massages, de la danse sous ta douche, ou chez toi, sourire, chanter, te masser les yeux, tes épaules, tes mains, cuisiner, remercier, marcher, monter ou descendre un escalier, sourire, dire des jolis mots
Voilà,
Je te suis reconnaissante pour ta lecture,
Je te souhaite une très enrichissante journée
🍃

Coucou !

Comment vas-tu maintenant ? Comment c’est pour toi ?

Je nous propose de nous présenter, une petite chose toute douce, toute facile, bonne pour nous . . .

De même qu’à notre égard, à notre corps, une partie de notre corps, à notre tête aussi,
nous lui parlons de manière pas très bienveillante, pas très douce....
Comme par exemple,
Le corps entend :
"Je suis conn.e"
"Je suis fatigué.e"
"J'ai mal à la tête"
"Mon corps c'est n'importe quoi"
"Il me gonfle..."
"J’ai la haine”
"Ca me tourmente”
"J'en ai plein le dos"
"Oh tu as pris du poids"
"Oh tu t'es trompé....
"J'ai trop de pensées "
" Ma tête pense trop"
"Je suis laid.e"
"C'est lourd pour moi"
"Je suis nul.le”
"Ca me pèse"
“Il me fait chier”
Chaque choc, chaque séisme, chaque petite éraflure, chaque égratignure, chaque impact....Qu'entend mon corps,
Qu'entend ma tête,
Qu'entend mon ventre,
Qu’entend ma gorge,
Qu'entend cette partie du corps en moi... " mal-aimée" de moi-même
Critiquée, jetée, dédaignée par moi...
Etc....
(.... Entends-tu ?)
Ce que nous faisons là, c'est....
Ce que nous faisons tous là, c’est. . . :
Nier la douleur
Nier ce que notre corps nous dit
Dire Non à notre état d'être
Dire Non à ce qu'il se passe en nous
Dire Non à nous-même
Dire Non, nous nous opposons à cet état (douleur, contraction, inconfort, mal-être.....)
Maudire notre corps, en fait....
Mal dire de notre corps….
Nous maudissons notre corps, notre partie de nous inconfortable
Nous Maux//dit//ssons ce corps qui nous accompagne
Nous maudit/ssons notre corps
Mal dire de notre corps....
Maladie de notre corps....
Je te propose quelque chose.... Si c'est bien pour toi ?
....
Plutôt que (par exemple) le bisou magique, de la maman, du papa, à l'enfant qui est tombé et qui a mal au genou (qui est quand même doux et chouette)
Plutôt que notre bisou à nous même qui dit qu’on est bien comme on est, et hop on n'en parle plus…
Plutôt que ce baiser qui dit ; “C’est rien, ça va passer”
Ce bisou qui dit ; “Ce n’est pas grave, allez passe à autre chose !”
Ce smack qui embrasse mais qui nie tant...
Plutôt que la négation qui dit :
Ce n'est rien, va jouer, va travailler , ce n'est rien, continue d'avancer
Ou plutôt que le :
"Ce n'est pas grave"
Ou le :
"Tu t'écoutes trop" "
Tout cela, qui signifie ... :
"tu te trompes, tu n'as pas mal
Ou
Soit :
”Tu te t'es trompé. e” ,
Ou
“Tu ne souffres pas”
Ou :
“Faut aller de l’avant !”
Ou même :
“Ne fais pas ton fragile !”
ou encore :
“Mais bouge !”
Lui dire, dire à la partie de notre corps, tête, ventre, partie de nous-même, espace qui a une
douleur :
"-Tu as mal ?
-Tu souffres ?
-Tu as peur ?
-Ouiiii
-Tu as mal jusqu oú ?
-J'ai très très mal
-D'accord
-Tu veux rester là ?
-Ouiiiii/Noooon"
etc....

À cet instant, par exemple, aujourd'hui, par exemple . . .
Propose à ton corps, à cette part de toi, à ta tête, à cet endroit de ton corps qui a mal, qui se sent moche, qui fait mal etc (Oui . . .) :

"-Tu as mal ?"
"-Tu as besoin d'œuvrer pour ton travail , ca serait chouette de te reposer, c'est ça?"
"-Oh la la tu as mal au dos là, tu as besoin de détente ?...."
"-Tu es touché.e là , au-delà des mots ? . . ."
"-Je suis là pour toi, tu auras mon réconfort, ma force, ma joie"
"-Tu penses, tu penses trop ma tête ?"
"-Tu aimerais te reposer ?"
"-Être dans la détente ? Souffler, être là, juste là, sereine ?"
"-Merci, merci de me dire ma tête, j'entends ton inconfort, je me réjouis que tu me dises, que tu me montres le signal"
"-Je vais faire cela pour toi, ma tête (lire, aller dans la nature, me reposer.... Autre chose….)"
De même qu'à notre égard, à notre corps, qu'à une partie de notre physique, nous lui parlons de manière pas très bienveillante, pas très douce, de manière jugeante, presque agressive, et même violente....
Plutôt que la critique à notre corps (qui entend), que dirais-tu de lui offrir des :
"-Merci, aujourd'hui tu as été la pour moi"
"-Hum aujourd'hui tu as été doux pour moi merci"
"-Ah je vois que tu me dis que là ca va pas ? "
"-Merci pour cette douleur /mal être/inconfort, je vais être attentive à cela, Merci d'avoir attiré mon attention..."
"-Merci ma douleur, tu es tellement là pour me dire de prendre soin de moi"
"-Merci ma tête, je t'aime, tu es tellement vigilante à tout ce qui se passe autour pour prendre soin de moi, merci pour cela
"-Je vais être attentive à cette vigilance, gratitude pour elle...
Ca te va, si je chante/lis un livre/médite/vais me ressourcer dans la nature à présent ?"
"-Ça te va, que je regarde un film , le temps de nous reposer ?"
"-Veux-tu qu’on jardine, qu’on prenne l’air ?"
Bisous pour ta journée,
j'avais envie, l'élan de te partager cette petite chose, peut-être que ça contribue pour toi 🧡
Si tu veux, nous pourrons en reparler quand tu voudras
Je t'embrasse 🦒
Prends tout bien soin de toi, et de toutes les parties de Toi
“J'aime les gens qui doutent
Les gens qui trop écoutent
Leur cœur se balancer
J'aime les gens qui disent
Et qui se contredisent
Et sans se dénoncer. . .”

. . .Anne Sylvestre. . . .

Paroles “Les gens qui doutent”